• Voici les premierès vue de mon manga. Ils sont à l'état initial ni cleaner, ni belles xD Mais bon c'est une aperçus pour vous mais loupiots xD

     

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    Sans titre 2251
      

     

    Les Cornes du diable! Chapitre 1 en ligne! 

     

     

     

     

     

     

     


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    Chapitre 1:

     

    J’ouvris les yeux. Il faisait noir mais mes yeux arrivaient à perçaient cette obscurité. Sans doute l’habitude… Après tout je vis ici depuis quinze ou seize ans. La pierre froide sur laquelle je dormais me sert de lit, je me relève péniblement je ramène mes jambes vers moi mais ma chaine bloque mon pied. Je ne peux pas bouger. Je ne connais pas la liberté de mouvement. Ma chaine usée par le temps ne tient plus que par un clou dans le mur en pierre. J’éternue. J’ai froid. J’ai seulement un drap marron qui me recouvre le corps. Ce drap ce soulève au rythme de ma respiration et de ma poitrine. J’enlève la mèche de cheveux qui arrive devant mes yeux je la mets derrière mon oreille puis je mets mon dos contre le mur froid. Je ferme les yeux et tente d’entendre des bruits qui se trouvent derrière cette porte blindé. J’entends un bruit de verre contre du bois. Des pas et c’est tout. Je gratte le sol avec mes longs doigts. Mon ongles ce casse. Je joue avec ce bout d’ongle un long moment. Je le casse en plein de petit bout. Je n’arrive plus à jouer avec. Que dois-je faire ? Fais-je encore passer une journée sans rien faire ? Non ! Je veux jouer ! Mon pied alla taper dans le mur avec mon poing. Non ! Je ne veux plus être seule ! Non ! Qu’ils viennent au moins ça me ferra de la compagnie. Mon autre poing s’enfonça dans le mur comme s’il n’était rien. D’un seul coup je commençai à crier. Un cri à glacer le sang. J’entendis du mouvement derrière la porte. Je cri encore plus fort. Je commence à me mordre la main je ne veux plus être seule ! Je pourrais jouer avec mon sang si jamais je saigner ? Le sang coule je ne me sens pas mieux. Alors je recommence à frapper contre le mur. Ma main saigne encore plus mais je m’en aperçois à peine. Je commence à me tirer les cheveux avec une de mes mains à chaque coter de ma tête : une à droite et une à gauche. J’ai cassé mon jouet ! J’ai cassé mon jouet ! Pourquoi ? Je suis une idiote ! J’ai cassé mon jouet !

    La porte qui se trouvait dos à moi s’ouvrit. Trois personnes me prirent par les bras et les jambes.  Je me débats. Qui sont-ils ? Je n’arrive pas à croire que la compagnie que je cherche depuis si longtemps n’arrivent que maintenant ! Ils ne doivent pas me toucher sinon je risque d’abîmer ces magnifiques jouets ! Je me débats encore plus, je cris, un cri aigus qui retentit dans les oreilles de ces êtres. La lumière qui arrive de la porte me brûle les yeux. Cette lumière est immonde ! Cette lumière brûle ma peau ! Mais que vont-ils ? Pourquoi mes jouets ne cri ils pas aussi de souffrance ? Leurs peau est peut être immunisés contre cette chaleur ? Je sens quelque chose dans mon bras. Comme un long tuyau fin rentrant dans mes veines. Je sens ce liquide ce répandre en moi, je le sens. Il m’apaise. Cela fait du bien. Je me sens calme. Etrangement calme. Je ferme les yeux et plus rien je ne ressens plus rien, juste de la sérénité.

    « Enfuis-toi. »

    « Tue »

    J’ouvris les yeux. Une faible lueur était présente dans la pièce et cependant mes yeux me brulé comme si on m’avait aveuglé. Je n’ai juste pas l’habitude de la lumière et à chaque fois sa me fait le même effet. La lumière m’aveugle. On ma attacher les pieds et les mains avec une corde. Le sang de ma main coulait encore. Je l’apportais vers ma bouche pour sucer le sang. 

    Celui Qui Me Ressemble entra dans la pièce livrant avec lui une lumière qui m’obligea à fermer les yeux. Je n’étais pas dans ma salle habituelle. On m’emmener ici environ une fois par jour. Dans ma cellule il n’y avait pas de fenêtre il était donc impossible de savoir quand la lumière ce couchait. Ce qui est sûr c’est que j’ai entendu des êtres dire un jour que une journée correspondait à quand la lumière apparaissait. Maintenant à chaque fois quelqu’un rentre dans ma pièce il emmène avec lui de la lumière je sais donc qu’une journée est passé. Parfois personne ne rentre alors certaine journée peuvent durer très longtemps. Mais je n’ai pas trop compris pourquoi.

    Celui qui me ressemble avait un long bâton dans la main. Il posa sa main sur ma joue en murmurant que des mots que je ne comprenais pas :

    « Tu es magnifique quand tu souffres. Dommage que tu es ces cornes ! »

    Il approcha sa bouche de mes lèvres et me fit un bisou dessus. Je ne réagis pas. Après tout c’est la seul personne que je vois. A chaque fois que l’on se voit tous les deux on est dans cette pièce et il rapproche toujours ces lèvres des miennes. Et après il me touche mes cornes. Et je n’ai plus aucun souvenir.

    Dans le mur à ma droite il y avait un trou ou Celui qui me ressemble jeta des gants blancs. Avant d’en mettre de nouveaux. Il s’approcha de moi avec un immense sourire. Je le lui rendis. Et sa main s’approcha de mes cornes.


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    Chapitre 1 -4

       

    Bip… Bip… Bip…

    J’ai mal… Mal, au ventre. La ou j’ai tenté de … N’y pense plus. Sa ne sert à rien. Une larme coula, le long de la joue de la jeune fille. Une odeur d’haricots flottait dans l’air. On dirait l’odeur des haricots de la cantine…

    Elle ouvrit un œil, une lumière l’aveugla, puis elle aperçu, un plafond au dessus d’elle. Un simple plafond. Elle tourna sa tête sur sa droite. Une immense fenêtre avec des volets pour empêcher, les clients et les malades de regarder à l’intérieur de la pièce.

    Bip… Bip… Bip…

    La porte s’ouvrit, une infirmière entra. La jeune fille sur le lit, était à l’hôpital. Quand, l’infermière leva les yeux et remarqua que Mélanie, avait ouvert les siens, elle se précipita vers elle. Appuya, sur un bouton au mur, que la malade ne pouvait voir. Car il se trouvait derrière sa tête. La femme commença à lui parler.

    - Comment vas-tu, Mélanie ?

    La jeune fille, la regarda, et referma ces yeux. Puis, les rouvrant, elle voulut parler mais sa gorge était sèche. L’infermière, comprit tout de suite, et lui donna un verre d’eau qui se trouvait sur sa table de nuit. Mélanie, se redressa avec l’aide l’infermière, et but une gorger, d’eau.

    - Comment te sens-tu, Mélanie ? Demanda, l’infermière, une seconde fois.

    -Je ne me rappelle pas pourquoi… je suis ici… Répondît, Mélanie d’une petite voix. Je suis ou exactement ?

    -Tu à tenter de te suicider, il y a une semaine. Une voiture ta percuter, tu es dans le coma depuis six jours exactement.

    Ça, je le sais, pensa Mélanie.

    -Je veux dire quel jours somme nous ?

    -Le 15 Juillet, 2011.

    Mélanie, but une autre gorgée, et se recoucha, dans son lit, refermant ces yeux. L’infermière, s’activa autour d’elle, la porte de la salle s’ouvrit, et une voix d’homme parut aux oreilles de Lisa. Mais, elle ne comprit pas les mots, elle sentit seulement un douleur au ventre, et quelque chose rentrer dans son bras. Une piqure, oui surement, c’est comme cela que Mélanie reussis à se rendomir.

    Bip… Bip… Bip…

    Mélanie, se reveilla. Elle rêvée souvent de cette scène qui c’était passez il y a un peu plus d’un mois. Lors, de ce moment toutes la famille était en France, maintenant ce n’étais plus le cas. Mélanie était arriver dans son nouveau pays depuis peu, une semaine exactement : la thaïlande. Ici, elle compter tout recommencer et tout oublier, de son passé, pour pouvoir se construire un avenir, qu’elle avait toujours révée. Elle, regarda son horloge : 6h : 05. Elle, se leva lentement et descendit pour dejeuner, en bas son petit frère, mangé des céréales. Il lui lança un « bonjour » encore, un peu endormis. Il était légèrement plus petit qu’elle, ces yeux étaient marron, et ces cheveux étaient en bataille, comme à n’importe qu’elle moment de la journée. Il aller rentré en 5ème  et elle en 2nde . La rentrée c’était aujourd’hui, Mélanie n’était pas stressé, en tout cas pas encore. Elle mangea rapidement, et monta s’habiller dans sa chambre. La veille, elle avait essayer des vetements pour la rentrer : un top blanc  aux manches trois quarts, et un pantalon moulant, qui metter en valeurs ses fesses, la seule choses qu’elle trouver, bien à ces yeux.

    Le bus, arriva, une odeur inconnue l’acceuillit elle ne savait pas ce que c’était exactement car elle sentait cette odeur pour la première fois. Ce n’était pas les gros bus, scolaire français, mais un mini-bus, avec sept sièges. Il y avait une accompagnatrice, de couleur noire et souriante. Mélanie, lui sourit et s’assit sur l’un des sièges. Son frère, la suiva. Tout deux étaient tendus, pour la rentrer. Mélanie regarda au dehors, sans vraiment voir le paysage. Milles questions lui passer par la tete. Enfin, le bus s’arreta après un quart d’heure de routes, et rentra dans le parking de l’école.

    Mélanie, descendit tremblante, son cœur battait contre sa mince pointrine. Elle passa, devant un groupe de garçons. Puis, sous un arret de bus. Enfin, elle rentra par la grilles verte de l’école. Ou dois-je aller ? Une fille, était assise non loin, sur un petit muret. Elle n’est pas grande, et vut comment elle s’habille, elle doit etre en cinquième, pensa Mélanie.  Sur cette, pensée elle s’assit sur le muret. Un groupe de fille noires, arrivèrent.

    -Bonjour, dit la première fille à la fille sur le muret. Tu es nouvelle, non ? Tu sais en quelle classe tu es ?

    -Je suis en seconde, repondit elle.

    Mélanie, sentit la honte l’envair, exactement comme elle, cette fille était en seconde et non pas en cinquième.

    -Tu t’appelle comment ? Continua la jeune fille.

    -Marie.

    -Moi c’est Irebe, dit une seconde fille montrant elle-même. Elle c’est Samantha, ou Sam, en pointant un doigt sur la première fille, et elle c’est Anne.

    -Bonjour… Repondit timidement Marie.

    Puis, le groupe de fille se tourna, vers Mélanie.

    -Hey ! Et toi, tu t’appelle comment, en quelle classe est-tu ? Demanda Anne.

    -Je suis Mélanie, et je suis aussi en seconde.

    -Je crois, qu’elles sont toutes les deux, dans la meme classe que nous, repondit Irebe.

    Puis, le groupe partit, et Mélanie en fut legèrement attristée, elle tourna la tete vers Marie, mais celle-ci tourna la sienne vers ces pieds au meme moment. Quelques minutes, après une autre fille arriva, les cheveux bouclés et noirs, ces yeux étaient de la meme couleurs, est trancher avec sa couleur de peau, blanche.

    -Bonjour, on m’a dit que vous étiez en seconde ! Je suis Myriam, venez, je vais vous faire visiter ! Chaque salle, à un numéro, expliqua t-elle, suivie de Marie et Mélanie, mais vous n’aurez pas à les apprendres par cœur, ce n’est pas la peine. Regardez ici, il y a la fiche des classes ! C’est quoi vos prénoms ? Marie et Mélanie ? Bon, alors voyons…. Oui, on est toutes les trois dans la meme classes ! Et on a Madame Mouteran, comme professeur principale. Venez, je vais vous presentez en gens qui sont déjà la.

    Mélanie, suivit Myriam, celle-ci s’arreta devant une salle de classe, et commença à presenter les garçons devant lequels elle se trouvait.

    -Voici, Marc et  Julien.

    Les deux nouvelles les saluèrent timidement, Julien tait grand blond, et ces yeux étaient bleu. Marc, était legèrement plus petit, mais ressemblait plus au gens de son ancien quartier. Il avait une carrure malgrès sa petite taille, ces cheveux était coiffer à la façon de Justin Bieber, ces yeux marron, étaient plus clairs que ceux de Mélanie. Il portait un short, qui descendait en-dessous de ces fesses, ainsi qu’un grand T-shirt.

    -Bonjour, dit il.

    Myriam, se retourna vers, Marie et Mélanie et leur demanda de rester ici. Mélanie, regarda sa nouvelle camarade s’éloigner puis regarda plus attentivement Marie. Elle ressembler en tout point à une autre fille qu’elle avait connue en Corée du Sud. Ces cheveux chatain, était un peu gonflant, ces yeux étaient marron, Marie était plus petite que Mélanie, qui était elle de grande taille.

    -D’où vient tu ? Finit par demander, Mélanie. 

     


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